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  • désolée pour les fautes ! 

    déconseillé âme sensible : 

    chapitre 1 premiere parti.

     
    Spoiler


    je pris l'arme en bois, aux pointes si aiguisées qu'elles tranchent d'un seul coup la peau d'ne vache. JE la leva en l'air, bien haut et....
    la planta dans mon cœur.
    Mes yeux s'écarquillèrent, mes mains se rétractèrent et l'arme tomba dans un bruit sourd au sol. 
    MA respiration se fit haletante et ma gorge se sera.
    Puis il y a eu se déclic. 
    Mes pupils s'élargissèrent, mes mains se détractèrent et ma respiration repris son cour.
    Il ne restait plus qu'une fini cicatrice la ou l'arme c'était plantée.

     


    Dans les vestiaires de sports, des exclamations se fit entendrent.
    -- HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!! 

    Les filles se retournèrent vers moi, qui venais d'enlever mon tee-shirt. Mon do, et surtout mon cœur( bien que caché sous mon sou-tif' elles ne les voyaient pas toutes ) Des cicatrices par milliers ainsi que des bleus et des pansements.
    -Tu....tu as eu des opérations ?
    je ne dit rien.
    -tu, tu ne te fais pas battre quand même ?!
    silence.
    -tu...ne répons pas ? J'ai dit sa pour rigoler....
    silence. Chuchotement.

    J''étais prête, je sortis des vestiaires.

    Plus tard, mon prof vena vers moi et me demanda : 
    prof : - Tu sais, c'est très grave les parents violents, il faut le signalé ! 

    Il y a eu un énième silence puis je lui déclara : 
    -je n'ai pas de parent.
    Je m’apprêtais a partir vers la piste mais il me retenu : 
    prof : - tu vis avec qui ?
    moi : - mon oncle.
    prof : Si ton oncle et violent avec toi, il ne faut pas que laissait faire sa, on va le signalé. 
    un autre blanc.

    Je suis.... immortelle. JE ne sais pas vraiment si je vais mourir avec l'age mais pour instant, sa a pas vraiment l'air.....
    Mes cheveux sont blanc et mes yeux jaunes.

    Essaya de me dégagé du professeur mais il me broyais le poignet.
    moi : - vous me faites mal.

    C'est vrais. Je ne meurt pas mais je ressent la douleur.

    prof ( M. kours ) : - Ho pardon ! 

    mais il ne me lâcha pas, il desserra tout juste sa prise.

    Je ne meurt pas mais je suis plus fragile qui les gens normaux. Si je tombe, je 'arrache la moitie du genoux. Mais sa guérie en 10 secondes et laisse place a une belle cicatrice. Mon corp est un amassé de cicatrices.

    M. Kours : - Aller, vient avec moi, on va le signalé....

    Pour info, je ne tiens pas à ma vie. C'est un enfer. J'ai mal , je ne peu rien porté a peine courir...
    pour info 2, oui, mon oncle me bat. 
    Il prend un plaisir à m’entendre gémir de douleur, il me torture, il a toute essayée.
    Son préféré et de m’éppelait la peau et mettre du sel dessus.
    je souffre.
    Pourquoi ne pas le dire alors ?
    Parce que comment dire à se qui deviendra ma " nouvelle famille" le monstre que je suis ?
    Et surtout, mon oncle possède ce dont j'ai besoin. Une sorte de médicament qui me tient en vie.
    Si je n'en prend pas, je rentre en état de transe et je souffre énormément, jusqu’à ce que j'en prenne.
    Alors je vais mentir. 
    - ce sont des cicatrices du à mes opérations. Je suis de faible constitution. Au passage, la sorte de charpie de chair et d'os que vous tenez dans votre main, c'est mon poignet.
    blanc.
    long blanc.
    très long blanc.
    Il me lâcha. JE pars. JE n'ai plus de poignet, enfin si, mais il ne tient plus.
    10,9,8,7,6,5,4,3,2,1......... 0
    déclic
    IL se remet.
    une cicatrice.
    Super....

    Je me dirige vers les autres filles, qui me regardent bizarrement.
    Seul Ange m’adresse un sourire. C'est une magnifique fille au cheveux roux.
    Elle est ésoufflé à cause des tours d’échauffements.
    Elle s'approche de moi et me demande : 
    - le prof ne ta rien fait j’espère ? IL y a des drôle de rumeurs qui dit qu'il fait des truc pas nette....
    je fit non de la tête.
    ange : Ouf, enfaîte, comment tu t'appelles ? 
    moi : Elionor.

     




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  • Qu’est devenue la terre 

     

    Mais qu'est devenue la terre,
    cette beauté aux yeux bleu clair,
    aux cheveux d'océans et aux beaux sourire des enfants... !

    mais qu'est-t ‘elle maintenant ?
    un bout de terre nucléaire
    aux océans rouges sanguinaire
    et aux larmes des centenaires ! 

    Refrain : est-ce sans espoir est-ce sans futur
    les cris(e) de désespoir et les yeux dur...
    L'irréparable peut être réparé ?
    par un murmure doucement murmuré....

     

    Mais qu'est devenue notre terre
    cette beauté aux paysages verts
    aux grandes montagnes enneigé
    et aux rire éclairées

    mais qu'est-elle maintenant ?
    un bout de terre privé de vert
    aux grandes montagnes d'ordures
    et aux critiques bien trop durs !

    refrain

     

    Mais qu'est-devenue la terre
    cette beauté de milles couleurs 
    ou tout est mélangé
    du blanc clair aux marron foncé !

    mais qu'est-elle maintenant 
    un bout de terre séparé
    ou des murs sont dressé
    ou le blanc et le noir n'est pas mélangé !

     

    Refrain fois 2

    (pas sur le même ton) 

    mais même aux milieux du chaos
    les sourires et es larmes chaudes
    les éclats de rire, les sourires 
    le bonheur est invisible…
    (en boucle de moins en moins fort)

     

    de lady bird /!\ interdit de copier !!!! 


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  •  

     

    Alice atterrie doucement sur le sol,

    Quadrillé en carreaux de carrelage carreauté.

    Une table était joliment posée sur le sol, 

    Et dessus à l'abri une bien petite clé



    Mais comment faire s'il fallait l'attraper ?

    Et la mettre dans une de ces nombreuses portes ?

    A bien chercher, dans aucune serrures la clé ne rentrait.

    Trop petite pour mes demoiselles les portes.

    Afficher l'image d'origine

    ( de votre petite ladybird :P

    qui veut gardez ses droit d'auteur) 

    ( corriger par une amie ) 


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